Atonale
READING 5 ︎︎︎ George Jouve, à la lumère d’appolon. Commande de mise en page et conception editoriale pour la galerie de Beryie.
En juillet 1991, Catherine et Stéphane de Beyrie se rendent à plusieurs reprises chez Jacqueline Jouve, près d’Aix en Provence, où ils acquièrent une partir de sa collection d’oeuvres exceptionnelles de Georges Jouve, son mari décédé en 1964.
Jacqueline Jouve les rejoint en octobre 1991, dans leur propriété des bords de Seine, pour des conversations à bâtons rompus.
Cinq jours durant, celle qui fut l’épouse et la complice du céramiste pendant près de trente ans raconte ses souvenirs artistiques et familiaux. Ces conversations ont été précieusement conservées par Catherine et Stéphane de Beyrie qui en publient aujourd’hui des extraits. Ces « marchands voyageurs » dévoilent également des photos inédites de leur collection de Georges Jouve à travers leur transhumance aux USA.
Jacqueline Jouve les rejoint en octobre 1991, dans leur propriété des bords de Seine, pour des conversations à bâtons rompus.
Cinq jours durant, celle qui fut l’épouse et la complice du céramiste pendant près de trente ans raconte ses souvenirs artistiques et familiaux. Ces conversations ont été précieusement conservées par Catherine et Stéphane de Beyrie qui en publient aujourd’hui des extraits. Ces « marchands voyageurs » dévoilent également des photos inédites de leur collection de Georges Jouve à travers leur transhumance aux USA.
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Georges Jouve (1910 – 1964) est le céramiste français le plus connu des années 1950 et 1960.
Diplomé de l’école Boulle, où il acquiert le surnom d’Apollon, Jouve découvre les arts du feu dans un petit village de potiers, dans la Drôme, pendant la seconde guerre mondiale : Dieulefit.
Il installe son 1er studio à Paris et commence par travailler des pièces de formes. Il ancre définitivement son atelier sur les contreforts de la Méditerranée, à Aix-en-Provence, à partir de 1954.
Diplomé de l’école Boulle, où il acquiert le surnom d’Apollon, Jouve découvre les arts du feu dans un petit village de potiers, dans la Drôme, pendant la seconde guerre mondiale : Dieulefit.
Il installe son 1er studio à Paris et commence par travailler des pièces de formes. Il ancre définitivement son atelier sur les contreforts de la Méditerranée, à Aix-en-Provence, à partir de 1954.
Ses recherches sont axées sur la matière qu’il aime généreuse, profonde, épaisse et les couleurs aux tonalités vives : rouge tomate, blanc crémeux, jaune citron ou vert prairie. Mais ce sont les émaux noirs lustrés, aux reflets métalliques, qui feront son succès.
Il renonce aussi aux formes tournées pour adopter une technique assez proche du modelage et de la sculpture, qui donne à ses céramiques, un caractère unique. Donnant ainsi à cet art du feu une mission décorative pour l’emmener vers le champ artistique, dans une quête d’esthétique moderne.
Il renonce aussi aux formes tournées pour adopter une technique assez proche du modelage et de la sculpture, qui donne à ses céramiques, un caractère unique. Donnant ainsi à cet art du feu une mission décorative pour l’emmener vers le champ artistique, dans une quête d’esthétique moderne.
ISBN : 9782960282702